des livres où s'évader

Dans la turbulente Barcelone des années 1920, David, un jeune écrivain hanté par un amour impossible, reçoit l’offre inespérée d’un mystérieux éditeur : écrire un livre comme il n’en a jamais existé, « une histoire pour laquelle les hommes seraient capables de vivre et de mourir, de tuer et d’être tués », en échange d’une fortune et, peut-être, de beaucoup plus.

Du jour où il accepte ce contrat, une étrange mécanique de destruction se met en place autour de lui, menaçant les êtres qu’il aime le plus au monde. En monnayant son talent d’écrivain, David aurait-il vendu son âme au diable ?

Comme dans L’ombre du vent, on retrouve dans ce roman de Carlos Ruiz Zafón une histoire dans laquelle on a du mal à distinguer la limite entre réalité et surnaturel, ce qui a rapidement attisé ma curiosité. J’ai aussi aimé le fait que l’on retrouve des personnages et des éléments de son précédent roman. Le style est agréable à lire et l’histoire intéressante, pourtant il y a eu un moment dans ma lecture où j’ai un peu décroché. J’avais eu le même problème avec le premier roman de l’auteur et je ne m’explique pas vraiment pourquoi… Malgré tout, je ne regrette pas de l’avoir lu, pour l’ambiance, mais il ne restera pas gravé dans ma mémoire.

Pocket, novembre 2010