Karen Marie Moning – Shadowfever
Billet garanti sans spoilers :)
Ce cinquième et dernier volet des aventures de MacKayla Lane est Jéricho Barrons n’a rien à envier aux précédents en terme d’intrigue et d’action. Dès le début nos nerfs sont mis à rude épreuve, on va de rebondissement en rebondissement, de surprise en surprise et, je dois bien le dire, on est vite au bord du désespoir. Karen Marie Moning prend toujours le même plaisir sadique à jouer avec nos nerfs, et elle y arrive à la perfection !
Au début, je n’ai pas aimé la « nouvelle » MacKayla et je me suis pas mal énervée contre elle, jusqu’à ce qu’elle remette un peu les pieds sur terre en réalisant qu’elle s’était trompée. Ceci dit, je n’étais pas au bout de mes peines car c’est en fait à ce moment là que tout commence ! Les révélations, instillées au compte-goutte par l’auteure, sont plus surprenantes les unes que les autres, on ne sait plus où donner de la tête ni ce que l’on doit croire ! Et c’est comme ça pendant presque 600 pages, pas une once de répit !
Au final, j’ai refermé le livre avec soulagement parce que je crois que je n’aurais pas pu en supporter plus mais aussi avec une pointe de regret de quitter ces personnages et cet univers qui m’a fait vibrer au cours de dernières semaines.
Voilà une série que je ne suis pas près d’oublier !
Delacorte Presse, janvier 2011