Blue Cerises, saison 2 : Rôde Movie
C’est avec un immense plaisir que je me suis plongée dans la suite de la série Blue Cerises ! Cette deuxième compil regroupe la deuxième saison de la série, à savoir : Rôde Movie de Sigrid Baffert consacré à Amos, Ciné Ciné Cinéma de Cécile Roumiguière pour le personnage de Violette, Y a pas photo de Maryvonne Rippert pour Zik et enfin La faute à Voltaire de Jean-Michel Payet pour la suite des aventures de Satya.
Attention, si vous n’avez pas lu la première saison, ne lisez pas le paragraphe suivant.
A la fin du tome précédent, nous quittions les Cerises après avoir appris une nouvelles catastrophique, Amos doit déménager au Canada suite à la mutation de son père. Violette, Zik et Satya en profitent pour s’octroyer un tête à tête avec Amos, sans en parler aux autres, rendant leurs derniers jours avec lui inoubliables.
Quelle joie de retrouver ces quatre personnages auxquels je me suis si vite attachée dans le premier tome. Ils ne sont pas parfaits, loin de là, ce sont des ados qui ont encore beaucoup à apprendre ; on est tantôt déçu de leur comportement, tantôt subjugué par leur ingéniosité. Et puis, il y a toujours le fameux « secret Olivia », dont on commence à comprendre la teneur mais qui reste encore assez flou pour nous donner envie de lire la suite !
Par ailleurs, je suis toujours aussi impressionnée par la cohérence des quatre récits bien qu’ils aient été écrit par des auteurs différents. Je n’ai pas de préférence pour l’un ou l’autre des personnages, je les aime tous, ils sont touchants à leur manière, ils ont des secrets, des doutes, qu’il n’est pas toujours facile de partager, même avec ses meilleurs amis.
Il y encore un point qui me plait particulièrement dans Blue Cerises, ce sont les références liées à l’art et la culture, qu’il s’agisse de photographie, de cinéma, de musique, ou encore de stylisme (I ♥ la grand-mère de Zik).
Si vous ne connaissez pas cette série, il ne vous reste plus qu’une chose à faire, vous rendre sur le champ chez votre libraire préféré !
Macadam, janvier 2012