Jérôme Noirez – La dernière flèche
Quatrième de couverture : La dernière flèche De son père, celui qui incarna la légende de Robin des bois quelques années plus tôt, Diane de Loxley a hérité le caractère fougueux et un refus catégorique de l’injustice. La grouillante et cosmopolite Londres de 1212, où elle se rend à ses côtés, va lui offrir un terrain de jeux à la mesure de son goût pour l’aventure. Mais les ennemis de son père, eux, ne jouent pas, et Diane se retrouve à son corps défendant au cœur d’une conspiration mortelle. Pour sauver sa vie et celle de Robin, la jeune femme va devoir se confronter à la plus sombre des réalités. Heureusement, elle n’est pas seule…
J’ai toujours beaucoup aimé l’écriture de Jérôme Noirez et La dernière flèche ne déroge pas à la règle. Par contre, force est de constater que je n’ai pas autant accroché à l’histoire que d’habitude. L’idée de départ est bonne mais j’ai eu du mal à me passionner pour les divers rebondissements et, outre l’aspect fantastique, j’ai trouvé la trame un peu trop prévisible. J’ai tout même trouvé dans La dernière flèche de quoi me satisfaire en terme d’ambiance et de descriptions, l’auteur nous brosse un portrait tellement réaliste de Londres en 1212 qu’on imagine sans peine le décor mais aussi le bruit, les odeurs, les gens… de ce point de vue, il n’y a vraiment rien à lui reprocher !
Un roman d’aventure agréable à lire mais pas mon préféré de l’auteur malheureusement.
J’ai lu, novembre 2012