Chip Kidd – Cheese Monkeys
Nous sommes à la fin des années 1950, le narrateur entre à l’université où il a l’intention de suivre des cours d’art, plus parce qu’il faut bien choisir une matière que par réelle vocation, mais après tout, pourquoi pas ? Au moment de l’inscription, il va cependant devoir sur rabattre sur les seuls cours dans lesquelles il reste de la place. C’est toutefois cette absence de choix qui va lui permettre de rencontrer Himillsy, une jeune fille avec qui il sera amené à suivre le cours d’introduction à l’art commercial du professeur W. Sobeck, un cours qui devrait vraisemblablement changer sa vie.
L’ouvrage se découpe en deux semestres qui se situent à cheval sur les années 1957 et 1958, le premier sert surtout à nous mettre dans l’ambiance, présenter les personnages et la façon dont se déroulent les cours. J’ai préféré, de loin, la deuxième partie avec l’entrée en scène de Winter Sobeck, professeur pour le moins spécial. Le récit est assez drôle dans l’ensemble, je n’aurais pas aimé me retrouver à la place de ces étudiants ! La fin m’a cependant laissée perplexe, je ne suis pas sûre d’avoir compris où l’auteur voulait en venir.
Une lecture qui ne restera sans doute pas dans les annales et qui sera même sans doute assez vite oubliée mais qui témoigne assez bien d’une période qui s’avère déstabilisante pour beaucoup d’étudiants ; c’est du moins ce que j’en ai retenu, je ne sais pas s’il fallait y voir autre chose.
Points, février 2013
L’histoire ne me branche pas plus que ça, et si c’est une lecture qu’on oublie facilement, je préfère ne pas m’attarder dessus. Je ne connaissais pas ce challenge, le logo de Sharon est sympa ^^
Tout à fait dispensable mais j’étais curieuse ^^
bon, on oublie !!!, encensé par Ellis !!!
J’avais très envie de le lire, mais ta critique ne m’encourage pas à le placer en haut de ma pal…
Oh ! Pourtant cette couverture semble me crier « achète moi ! Tu auras du soleil dans les yeux, le vent dans tes cheveux et la liberté sous tes pieds ! »
Bon je sais ça n’a visiblement rien à voir avec l’histoire. Mais j’ai quand même envie de le lire :)
C’est en effet ce à quoi on pense quand on voit la couv’, mais elle n’a pas grand chose à voir avec le contenu…