Kate Quinn – La maîtresse de Rome
Quatrième de couverture : Jeune esclave juive soumise aux caprices de l’arrogante Lepida Pollia, sa maîtresse, Thea connaît pour la première fois le bonheur dans les bras du gladiateur Arius le Barbare, la nouvelle coqueluche de Rome. Mais leur idylle attise la jalousie de Lepida, qui s’emploie de son mieux à les séparer. Cette dernière n’est pas le seul obstacle à se présenter sur la route des deux amants. Grâce à ses talents de musicienne, la belle Thea ne tarde pas à être remarquée de l’aristocratie romaine… et d’un dangereux admirateur : l’empereur Domitien, un homme brillant mais cruel qui en fait sa favorite. Devenue la femme la plus influente de Rome, Thea doit plus que jamais garder son amour pour Arius secret.
Lorsque j’ai commencé à lire La maîtresse de Rome, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à la série TV Spartacus. J’ai tout de suite aimer l’ambiance de la Rome antique, mais on ne peut pas dire que l’histoire me passionnait, la liaison entre une esclave et un gladiateur avait un petit goût de déjà vu… Pourtant, plus j’avançais, plus je trouvais le roman palpitant et j’ai fini par dévorer les 300 dernières pages du livre en une après-midi !
J’ai aimé le fait que le temps passe relativement vite et que l’histoire se déroule sur plusieurs années, cela permet de voir les personnages vieillir et évoluer. Cela contribue aussi au fait que l’histoire ne piétine pas et qu’il n’y a pas de longueurs.
L’histoire de Thea ne serait, à mon avis, pas aussi intéressante sans Lepida Pollia, la salope garce méchante de service, jalouse d’elle depuis le début. Le pire, c’est qu’en plus d’être méchante, elle est conne elle n’est pas intelligente, ce qui lui ôte tout le respect que j’aurais pu avoir pour un personnage mauvais mais brillant, j’ai donc pris un plaisir malsain à la haïr !
Pour conclure, j’ai donc passé un excellent moment avec cette romance historique et je ne manquerai pas de lire le deuxième tome de la trilogie !
Pocket, juin 2013