Archive pour décembre 2013

Challenge Écrivains japonais : Récap’ de décembre

Pour terminer en beauté ce challenge Écrivains japonais 2013, aucun auteur n’était imposé au cours du mois de décembre, chacun a ainsi pu choisir ce qu’il voulait !

Logo écrivains japonais_1

Voici ce que les participants ont lu :

Voilà pour les lectures de décembre, je remercie une nouvelle fois les participants qui ont contribué non seulement ce mois-ci mais aussi tout au long de l’année.

Si vous ne l’avez pas encore fait, vous pouvez voter pour l’écrivain que vous avez préféré au cours de ce challenge ; vous avez encore quelques jours avant le récapitulatif final.

Compte-tenu du décalage horaire, je rajouterai les derniers billets demain s’il y en a.

Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter un très bon réveillon !

よいお年を (Yoi otoshi o)

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Deborah Harkness – L’école de la nuit

Deborah Harkness - L'école de la nuitQuatrième de couverture (attention le résumé contient des spoilers sur le premier tome) : Diana Bishop, jeune historienne héritière d’une puissante lignée de sorcières, et le vampire Matthew Clairmont ont brisé le pacte qui leur interdisait de s’aimer. Quand Diana a découvert l’Ashmole 782, un manuscrit alchimique, à la bibliothèque d’Oxford, elle a déclenché un conflit millénaire. La paix fragile entre les vampires, les sorcières, les démons et les humains est désormais menacée. Déterminés à percer le mystère du manuscrit perdu, et tentant d’échapper à leurs ennemis, Diana et Matthew ont fui à Londres… en 1590. Un monde d’espions et de subterfuges, qui les plonge dans les arcanes du passé de Matthew et les confronte aux pouvoirs de Diana. Et à l’inquiétante École de la nuit.

Comme je ne me souvenais pas très bien du premier tome, Le livre perdu des sortilèges – lu il y a plus de 2 ans – j’ai eu un peu de mal à me remettre dans l’histoire, d’autant que le cadre est assez différent puisque nous voilà plongés au XVIe siècle ! Et malheureusement, je n’ai pas retrouvé le même engouement pour cette suite que j’ai trouvé un peu longuette… En effet, l’enchaînement des évènements est parfois un peu trop rapides alors que certaines scènes, moins indispensables au scénario, sont trop longues ; cela m’a, au final, laissé un sentiment un peu bizarre.

Petite déception donc pour cette suite qui n’a pas été à la hauteur de mes attentes.

Le Livre de poche, septembre 2013

MATSUI Kesako – Les mystères de Yoshiwara

MATSUI Kesako - Les mystères de YoshiwaraQuatrième de couverture : Avec ce roman nous pénétrons de plain-pied dans le monde fascinant de Yoshiwara, le plus grand quartier des plaisirs de la ville d’Edo, aux règles complexes et raffinées, et aux secrets bien gardés. Un homme enquête : qui est-il, d’où vient-il ? Nous ne l’apprendrons qu’à la fin. Mais ce que nous comprenons, c’est qu’une « affaire » a eu lieu, et que cette affaire concerne la grande Katsuragi, l’une des courtisanes les plus prisées de Yoshiwara. L’un après l’autre, tenanciers de maisons closes, domestiques, amuseurs, geishas, entremetteuses, viennent répondre aux interrogatoires. Et chacun en profite pour se lancer dans des digressions ou des confessions cocasses, nostalgiques ou cyniques, qui donnent une image très vivante de ce qui fait son quotidien. A travers ces histoires drolatiques, tragiques ou émouvantes, à travers ces diatribes truculentes, enthousiastes ou désabusées mais toujours pleines de verve, on voit revivre tout le petit peuple de Yoshiwara, avec ses lois, ses usages, ses rites, et ses savoureux mystères.

J’ai beaucoup aimé la construction du roman : chaque chapitre est consacré à un personnage différent et on apprend ainsi de nombreuses choses sur le quartier de Yoshiwara, quartier de la prostitution à Edo (ancien nom de Tokyo), à travers leurs confidences. On ne sait pas qui est le personnage qui tente de leur tirer les vers du nez – même si on s’en doute fortement – d’autant qu’il n’intervient jamais directement dans le récit. J’ai trouvé particulièrement intéressantes les explications sur le fonctionnement des maisons de thé et sur les divers métiers exercés dans le quartier ainsi que celles sur les différents « types » de prostituées. J’avais déjà eu l’occasion de voir des reconstitutions dans des dramas ou films mais ce n’était pas aussi détaillé. Je ne cautionne évidemment pas la prostitution mais j’ai trouvé intéressant de voir comment c’était organisé à cette époque.

Par ailleurs, le suspens à propos de la disparition de Katsuragi est extrêmement bien entretenu, les spéculations vont bon train mais on ne découvre qu’au dernier moment ce qui est vraiment arrivé !

C’est un roman vraiment passionnant qui a toutefois un défaut : le style, pas très agréable étant donné qu’il s’agit uniquement de conversations, cela manque un peu d’élégance littéraire. En même temps, je me demande si cette façon de parler n’est pas significative du quartier de Yoshiwara, il est possible que ce soit ce qu’a voulu exprimer l’auteure. Cela ne constitue en tout cas pas un argument suffisant pour passer à côté de cette lecture !

Un roman à lire si vous avez envie d’en savoir plus sur ce célèbre quartier et si vous aimez le suspens !

Picquier poche, octobre 2013

Du côté des challenges : A tous prix chez Apshodèle ; Prix Naoki 2007 ; Écrivains japonais chez moi.

Mhairi McFarlane – Parce que c’était nous

Mhairi McFarlane - Parce que c'était nousQuatrième de couverture : Rachel, vient de se séparer de son fiancé après treize ans de relation. Son monde s’écroule… C’est alors qu’elle recroise Ben, son meilleur ami de fac, charmeur malgré lui, qu’elle n’a pas revu depuis dix ans. Ben est désormais marié et il est devenu avocat. Rachel, elle, est journaliste judiciaire. Alors même qu’ils s’occupent d’affaires matrimoniales peu commodes, il semblerait qu’une évidence de toujours se révèle à eux…

A la lecture de la quatrième de couverture, Parce que c’était nous n’est pas du tout le genre de roman vers lequel je me tournerais. C’est la chronique de Stephie qui m’a convaincue que, bien que les romances ne soient pas mon style de prédilection, il y en a qui valent le coup et ne sont pas complètement niaises.

J’ai bien fait de me fier à son avis car le roman de Mhairi McFarlane est en effet loin d’être stupide ou superficiel. Ici pas de dialogues mièvres, pas de clichés ressassés cent fois, les personnages sont des trentenaires qui ont les pieds sur terre et des préoccupations qui m’ont intéressée (j’entends par là des questions sur leur avenir plutôt que sur le rouge à lèvres qu’il faut porter pour le prochain rendez-vous !).

Cela n’empêche pas les personnages de faire des erreurs, ou de tirer parfois des conclusions hâtives, c’est peut-être pour cela que je me suis sentie assez proche d’eux, ils m’ont semblé sincères et pas caricaturaux. Ils essayent de faire de leur mieux mais ne sont pas infaillibles.

Le scénario n’est pas hyper surprenant, cela reste une romance, mais cela ne veut pas dire pour autant que l’histoire est plate et téléphonée. Il y a quelques surprises, des passages amusants, et les personnages sont attachants, je ne me suis vraiment pas ennuyée !

Une romance qui m’a semblé réaliste et m’a fait passer un bon moment. Si elles étaient toutes de cet acabit, j’en lirais peut-être plus !

Milady, octobre 2013

Colleen McCullough – Les oiseaux se cachent pour mourir

Colleen McCullough - Les oiseaux se cachent pour mourirQuatrième de couverture : Sur ces terres brûlantes d’Australie, les Cleary vont entamer une nouvelle vie, loin de la misère qu’ils ont connue dans leur Nouvelle-Zélande natale. Pour Meggie, neuf ans, seule fille de cette famille de huit enfants, ce nouveau départ se présente sous les traits du père Ralph. Séduisant, doux, généreux, le jeune homme la marque à jamais, lui inspirant des sentiments qui ne cessent de grandir au fil des ans… Pour se délivrer de cette attirance réciproque, Meggie n’a plus le choix à présent : elle se résout à accepter les avances d’un saisonnier. Quant à Ralph, fidèle à sa vocation, il décide de poursuivre sa carrière ecclésiastique loin de cet amour qu’il croit impossible…

Quelle lecture ! C’est une formidable histoire de famille qui m’a menée pas loin du coup de cœur, si la fin n’avait pas été trop dramatique à mon goût. En même temps, avec un titre comme Les oiseaux se cachent pour mourir, on pouvait s’attendre à des passages plutôt tristes…

J’ai adoré suivre Meggie de l’enfance à l’âge adulte et voir de quelle manière elle évolue. Le début du roman est particulièrement dur pour cette petite fille souvent mise à l’écart par ses nombreux frères aînés. Les conditions de vie de la famille Cleary en Nouvelle-Zélande sont loin d’être idéales mais j’ai trouvé très intéressante la description du pays à cette époque et les passages concernant l’éducation des enfants.

Puis vient le déménagement en Australie et l’espoir pour les Cleary de voir leur situation s’améliorer. Toutefois, ils ne sont pas au bout de leur peine et vont devoir continuer à trimer pour s’en sortir dans un pays et une région qui leur sont inconnus.

C’est aussi là que la famille va faire la connaissance du père Ralph de Bricassart qui se prend immédiatement d’affection pour l’adorable petite fille qu’est alors Meggie. Face à tant de bonté et d’attention, elle va développer en grandissant un sentiment plus fort qu’une simple affection qui va mettre le prêtre dans une situation délicate…

J’ai aimé ce roman à la fois pour les questions qui se posent autour de la religion et pour celles de l’adaptation à un pays et une culture différente, ainsi que pour le contexte historique et culturel, le tout au sein d’un scénario passionnant et plein de rebondissements. Malgré sa longueur, on ne peut pas dire que je me sois ennuyée !

Je me rappelle que, quand j’étais petite, mes parents avaient regardé l’adaptation télévisée avec Richard Chamberlain dans le rôle du prêtre. J’aimerais bien la regarder à l’occasion.

Pocket, juin 2011

Du côté des challenges : Animaux du Monde chez Sharon.

Challenge Animaux du Monde

Sarah Dessen – Écoute-la

Sarah Dessen - Ecoute-laQuatrième de couverture : Annabelle a tout pour être la star du lycée. La jeune fille se sent pourtant désespérément seule. Jusqu’au jour où elle rencontre Phil, un fou de musique qui a décidé de toujours dire la vérité en face, qu’importent les conséquences…

Annabelle, qui préfère inventer des histoires pour éviter tout conflit, sera-t-elle capable d’accepter l’amitié de ce garçon si différent des autres ? Lui seul semble capable de déchiffrer son cœur comme une partition de musique.

Écoute-la est un roman que j’ai bien aimé dans l’ensemble, aussi bien l’histoire d’Annabelle et Phil autour de la musique, que celle des sœurs de la jeune fille mais avec un petit bémol toutefois. En effet, on comprend dès le début qu’il s’est produit quelque-chose trois mois plus tôt qui a fâchée Annabelle avec sa meilleure amie Sophie mais sans savoir de quoi il s’agit. Cela entretient un certain mystère et s’inscrit bien dans le personnage d’Annabelle mais cela a quelque peu biaisée mon sentiment envers elle.

Ce que j’ai trouvé le plus intéressant toutefois c’est la relation qu’elle établit avec Phil, un garçon avec qui elle n’a rien en commun. Leurs discussions, autour de la musique et autres, sont les passages que j’ai préféré car ils posent de bonnes questions sur la façon de communiquer avec les autres.

Une lecture qui confirme mon sentiment que j’avais eu à la lecture de Cette chanson-là, également de Sarah Dessen ; j’aime la façon dont elle décrit les sentiments de ses personnages mais ses héroïnes ont une légère tendance à m’énerver !

Pocket jeunesse, mai 2013

Sisterhood of the world bloggers award

Je remercie Coccinelle pour cet award !

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Voici les règles de cet award :

  1. Fournir un lien et remercier le blogueur qui vous a nominé pour ce prix.
  2. Nommer à votre tour 10 blogs que vous choisirez.
  3. Faites un lien vers ces blogs tout en laissant un message aux nominées afin qu’elle sachent quelles ont été choisies.
  4. Répondez aux 10 questions suggérées.
  5. Afficher le logo du prix sur votre blog.

Les dix questions

1. Votre couleur préférée ?
Le rouge.

2. Votre animal de compagnie préféré ?
Aucun, je ne veux pas d’animaux domestiques.

3. Votre boisson préférée ?
En ce moment, l’eau, mais après avoir accouché, je ne serais pas contre un bon verre de vin ! (pas tout de suite après, je vous rassure…)

4. Lequel préférez-vous, Facebook ou Twitter ?
J’utilise les 2 mais j’ai une préférence pour Facebook que je trouve plus convivial.

5. Votre modèle préféré ?
Alors là, je n’ai vraiment aucune idée de réponse…

6. Vous préférez recevoir ou donner des cadeaux ?
Je préfère en offrir mais j’aime bien qu’on m’en fasse aussi, je ne vais pas dire le contraire !

7. Votre chiffre préféré ?
Le 12.

8. Votre jour préféré ?
Aucun jour de la semaine en particulier, mes jours préférés sont ceux que je passe avec les gens que j’aime.

9. Votre fleur préférée ?
J’aime beaucoup les orchidées mais j’avoue ne pas m’y connaître énormément en fleurs, il y en a plein que je trouve jolies mais dont j’ignore totalement les noms !

10. Quelle est votre passion ?
La lecture, of course !

Je ne tague personne car je sais que de nombreuses personnes ont déjà répondu mais si vous souhaitez le reprendre, n’hésitez pas !

Eli Anderson – Les deux royaumes

Eli Anderson - Les deux royaumesQuatrième de couverture : Un an s’est écoulé depuis mon premier voyage. J’ai appris des choses troublantes sur mon père, un célèbre Médicus disparu. Je dois découvrir la vérité sur lui. Enfin, mon pendentif retrouve son éclat : l’ordre des Médicus a besoin de moi ! Cette fois, je dois pénétrer dans le second Univers, là où se trouvent les Deux Royaumes mystérieux, Pompée et les Souffles. Le Prince Noir, mon ennemi irréductible, le sait-il déjà ? Depuis que j’ai été choisi pour lutter contre lui, il a entamé une guerre sans merci contre moi. Mais je suis prêt à le combattre. Plus que jamais.

Plusieurs mois se sont écoulés depuis le premier tome et Oscar Pill a grandi… mais pas tant que ça ! Il a appris de nombreuses choses sur ses capacités et sur sa famille mais il lui reste encore un long chemin à parcourir dont un certain nombre d’épreuves pour achever sa formation de Médicus. J’aime vraiment beaucoup ce concept de Médicus et les passages de l’histoire dans lesquels les personnages voyagent dans le corps humains sont toujours intéressants en plus d’être rythmés. J’ai été ravie de retrouver Oscar et ses amis et de suivre ses péripéties. Pour ce qui est de ses ennemis, en revanche, je trouve qu’on n’en sait pas beaucoup plus par rapport au tome précédent, j’espère donc avoir plus d’éclaircissements dans le suivant car pour l’instant, on ne sait pas exactement de qui vient la menace…

Un deuxième tome prenant dans lequel on ne s’ennuie pas et avec des personnages attachants, cela confirme mon sentiment qu’il s’agit d’une très bonne série jeunesse.

J’ai lu, mai 2013

Ann Granger – Un intérêt particulier pour les morts

Ann Granger - Un intérêt particulier pour les mortsQuatrième de couverture : Nous sommes en 1864 et Lizzie Martin accepte un poste de dame de compagnie à Londres auprès d’une riche veuve qui est aussi une propriétaire de taudis. Lizzie est intriguée d’apprendre que la précédente dame de compagnie a disparu, apparemment après s’être enfuie avec un inconnu. Mais quand le corps de la jeune fille est retrouvée dans les décombres de l’un des bidonvilles démolis récemment autour de la nouvelle gare de St Pancras, Lizzie commence à se demander ce qui s’est passé. Elle renoue avec un ami d’enfance, devenu l’inspecteur Benjamin Ross, et commence à enquêter avec son aide, au péril de sa vie, pour découvrir la vérité sur la mort de la jeune fille dont le sort semble étroitement lié au sien.

Le scénario est assez classique et ne recèle pas énormément de surprises mais ceci est compensé par l’atmosphère générale du roman et la personnalité de l’héroïne. En effet, Lizzie Martin est une jeune femme aux idées modernes dans une société victorienne où les mentalités commencent à peine à évoluer. En ce sens, elle me rappelle un peu Hesther Latterly dans l’œuvre d’Anne Perry et je me suis tout de suite attachée à elle. Il en a été de même en ce qui concerne l’inspecteur Benjamin Ross, jugé trop jeune pour occuper un poste aussi élevée au sein de la police.

Malgré quelques longueurs et répétitions et un scénario prévisible, cela ne m’a pas empêchée de le dévorer en quelques heures et d’y voir du potentiel pour la suite de la série qui comporte à ce jour 4 tomes dans son pays d’origine, la Grande-Bretagne.

Je lirai donc sans faute la suite des aventures de Lizzie Martin, surtout si la couverture est aussi belle que celle de ce premier tome !

10/18, juin 2013

Du côté des challenges : Le challenge victorien chez Arieste.

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Cassandra Clare – La cité des anges déchus

Cassandra Clare - La cité des anges déchusIl y a peu de temps, j’ai visionné l’adaptation cinématographique du premier tome de la série The Mortal Instruments de Cassandra Clare – que j’ai trouvé bien mais pas extraordinaire, soit dit en passant – et cela m’a donné envie de lire la suite des romans, puisque je m’étais arrêtée après le troisième tome.

Ce quatrième tome, La cité des anges déchus, met en avant le personnage de Simon alors que Clary et Jace passent presque au second plan pendant une bonne partie du livre. Cela ne m’a pas dérangée car j’ai toujours eu beaucoup d’affection pour Simon et je suis contente qu’il ait autant d’importance dans l’intrigue, même si je ne suis pas forcément d’accord avec certains de ses choix ! Il m’est difficile d’approfondir sans spoiler mais j’ai aimé les complications apportées par les évènements du précédent tome.

Quant à Clary et Jace, j’ai moins été touchée par ce qui leur arrive que par le passé où la tension était beaucoup plus vive. Heureusement ceci est compensé par la présence des personnages secondaires et même le retour de certains !

Je ne sais pas trop quoi penser de la fin, ce n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais, je vais donc devoir attendre de lire la suite pour voir si ce rebondissement me satisfait ou non.

Je l’ai trouvé un peu en-dessous des trois premiers tomes mais j’ai quand même pris du plaisir à cette lecture et je continuerai sans faute la série !

Pocket jeunesse, juillet 2013

Du côté des challenges : Le challenge US chez Noctenbule.

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