Jess Walter – La vie financière des poètes
Quatrième de couverture : La quarantaine passée, Matt se réveille un beau matin sans boulot, criblé de dettes et face à un compte à rebours plus que flippant : il n’a que huit jours pour sauver sa maison des griffes de ses créanciers. Sa rencontre inattendue avec deux minables dealers va lui ouvrir les yeux : investir dans le lucratif commerce de l’herbe qui redonne goût à la vie en ces temps de crise. Mais au pays des rêves et des dollars qui partent en fumée, il faut savoir se méfier des mirages. Entre magistrale arnaque et fiasco annoncé, Matt, en bout de course, n’aura peut-être pas perdu l’essentiel…
Le pitch m’a un peu fait penser à la série Breaking Bad, mais ne l’ayant pas regardée, je ne peux pas dire si la ressemblance va plus loin que ça. Quoi qu’il en soit, j’ai bien aimé le début du roman, les interrogations de Matt et les problèmes que sa situation engendre au sein de son couple, notamment parce que son épouse n’est pas réellement au courant de la gravité de la situation.
Toutefois, je n’ai que moyennement apprécié le dénouement. En effet, la trame m’a semblé somme toute assez convenue ; je crois que je m’attendais à quelque chose de plus percutant.
Bilan mitigé donc pour cette découverte de Jess Walter dont le nouveau roman, De si jolies ruines, vient de paraître chez Fleuve éditions.
10/18, août 2014
Du côté des challenges : Le mois américain chez Titine.
Bonjour Adalana, je ne vais pas le noter… L’histoire ne m’attire pas.
Ça aurait pu être pas mal mais le développement ne m’a pas plu…
Je le lirai à l’occasion, le titre le plait, ce que tu dis du début aussi…