Archive pour 28 octobre 2014

OGAWA Yôko – Les tendres plaintes

OGAWA Yôko - Les tendres plaintesQuatrième de couverture : Blessée par l’infidélité de son mari, Ruriko décide de disparaître. Elle quitte Tokyo et se réfugie dans un chalet en pleine forêt où elle tente de retrouver sa sérénité. Ruriko est calligraphe.Non loin, dans un autre chalet, s’est installé Nitta, un ancien pianiste de renom devenu facteur de clavecins, un homme habité par un calme particulier qui semble absorber les sons des instruments qu’il fabrique. Bien qu’assisté chaque jour dans son ouvrage minutieux par une jeune femme prénommée Kaoru, il vit seul avec un vieux chien aveugle et sourd. Invitée en ces lieux par Kaoru, la calligraphe observe et s’interroge sur la relation du facteur et de son aide. Ainsi elle apprend que Nitta ne peut plus jouer en présence d’autrui, que seule persiste en lui la capacité de vivre avec des sons invisibles. Mais, un matin, la calligraphe surprend Nitta installé au clavecin jouant « Les Tendres Plaintes » pour Kaoru.

Je suis bien embêtée pour écrire ce billet car je ne sais pas quoi dire à propos de ce roman… Tout est affaire de sensation et je n’arrive pas à mettre les mots dessus. Il ne se passe pas grand chose dans Les tendres plaintes et pourtant c’est un roman riche en descriptions, en émotions…

J’en retiendrai surtout un sentiment de solitude, non seulement pour les personnages mais aussi pour moi qui n’arrive pas à partager mon avis à propos de cette lecture.

Babel, août 2014

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