Donna Tartt – Le chardonneret
Quatrième de couverture : C’est un minuscule tableau de maître. Un oiseau fascinant. Inestimable. La raison pour laquelle Theo Decker, 13 ans, s’est retrouvé en possession de ce chef-d’œuvre de l’art flamand est une longue histoire… Un hasard qui, huit ans après ce jour tragique de pluie et de cendres à New York, l’obsède toujours autant. Des salons huppés de Manhattan aux bas-fonds mafieux d’Amsterdam ou de Las Vegas, Le Chardonneret surveille l’effroyable descente aux enfers de Theo et préside à son étrange destin…
Je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre en ouvrant ce livre. Les première pages, racontant la mort de la mère de Théo et la façon dont le jeune garçon s’est retrouvé en possession du tableau, m’ont totalement bluffée par leur réalisme. La suite décrit les conséquences de cette triste journée. Il est intéressant de voir l’ampleur qu’a pris le tableau dans la vie de Théo depuis le moment où il a posé les yeux dessus.
L’écriture de Donna Tartt est un vrai plaisir à lire mais malheureusement, cela ne m’a pas empêchée de trouver dans ce roman quelques longueurs, notamment dans la deuxième moitié du récit. Malgré cela, c’est une lecture que je recommande.
Pocket, janvier 2015
Du côté des challenges : 1 pavé par mois chez Bianca (1100 pages), A tous prix chez Asphodèle, Prix Pulitzer 2014
Je suis d’accord avec toi. Bien des passages sont captivants, notamment toute la première partie, mais l’auteur s’attarde sur des moments moins nécessaires et le roman comporte de sérieuses longueurs.
C’est un roman qui me fait un peu peur, je crains l’ennui à cause des longueurs justement !
Il me fait terriblement envie car j’aime Dona Tartt mais sa longueur me rebute un peu pour l’instant ! Je le lirai un jour c’est sûr ! ;)
Je ne peux juger sur celui-ci. Mais Donna Tartt écrit peu mais longtemps (1 livre tous les 10 ans) et ses livres ressemblent souvent à des pavés. Je garde cependant un excellent souvenir avec le Maitre des Illusions, et un bon moment avec le Petit Copain. Malgré leurs longueurs…
Je suis tentée par Le maître des illusions, je le lirai sans doute un jour, même s’il y a autant de longueurs que dans celui-ci parce qu’au moins ce sont des longueurs bien écrites !