Christian Léourier – Les contacteurs
Quatrième de couverture : Quand les hommes de la planète Lanmeur accèdent au voyage spatial, ils ont la surprise de découvrir que d’autres humanités s’épanouissent dans l’univers. Un hasard ? Peut-être pas. Lanmeur lance alors l’idée du Rassemblement et envoie des contacteurs sur ces mondes plus ou moins avancés, avec pour mission de les intégrer à sa propre civilisation. Mais quel projet se cache derrière ces sociétés si différentes ? Qui sont les Rêveurs de l’Irgendwo, auxquels Lanmeur devra tôt ou tard se confronter ? Voici le premier tome de l’intégrale des romans constituant Le cycle de Lanmeur, pièce maîtresse de l’ouvre de Christian Léourier et véritable classique de la science-fiction française. La réédition du cycle a été couronnée par le prix spécial du Grand Prix de l’Imaginaire en 2013.
Le premier tome de cette réédition du cycle de Lanmeur comprend trois romans : Ti-Harnog, L’homme qui tua l’hiver et Mille fois mille fleuves…
Les trois histoires n’ont rien en commun si ce n’est le fait que chacun des héros est un émissaire de la planète Lanmeur envoyé sur une planète pour déterminer l’avancée de sa civilisation. En-dehors de cela, les aventures et les mondes dans lesquels elles prennent place sont très différents.
Le premier texte est celui qui m’a le plus plu, j’ai bien aimé me poser des questions sur la possibilité d’adaptation sur cette planète fonctionnant selon un système de castes. L’auteur intègre des concepts intéressants en ce qui concerne l’évolution des habitants de cette planète.
Dans l’homme qui tua l’hiver, nous suivons une archéologue dont le rêve est d’explorer le site de Golgeth sur la planète Nédim, atteindre son objectif ne sera pas une partie de plaisir dans ce monde où règne un hiver sans fin…
Concernant le dernier roman, je dois dire que je me suis bien ennuyée… L’histoire de cette femme qui doit devenir l’épouse d’un fleuve ne m’a vraiment pas emballée.
C’est une lecture qui n’a pas été désagréable dans l’ensemble mais qui ne m’a malheureusement pas passionnée pour autant, dommage…
Folio, mai 2014
Du côté des challenges : 1 pavé par mois chez Bianca (629 pages) ; A tous prix chez Asphodèle, Prix spécial du Grand Prix de l’Imaginaire 2013.